Il y a des douleurs difficiles à consoler mais quelques mots peuvent les apaiser. Le livre de la vie est le livre suprême qu’on ne peut ni fermer ni ouvrir à son choix. On voudrait revenir à la page que l’on aime, mais la page du chagrin est sous nos doigts. Quand le chagrin aura pu s’enfuir, il restera les meilleurs moments. Toutes nos pensées.
Marie-Claude et Jean-Michel