Marie-Ange Mandroux

Par la mort, la famille ne se détruit pas, elle se transforme, une part d’elle va dans l’invisible. On croit que la mort est une absence, quand elle est une présence discrète. On croit qu’elle crée une infinie distance, alors qu’elle supprime toute distance, en ramenant à l’esprit ce qui se localisait dans la chair. Que de liens, elle renoue, que de barrières elle brise, que de murs elle fait crouler, que de brouillard elle dissipe, si nous le voulons bien. Vivre, c’est souvent se quitter ; Mourir, c’est se rejoindre. Ce n’est pas un paradoxe de l’affirmer. Pour ceux qui sont allés au fond de l’amour : la mort est une consécration non un châtiment.... Au fond, personne ne meurt, puisqu’on ne sort pas de Dieu. Celui qui a paru s’arrêter brusquement sur sa route, écrivain de sa vie, a seulement tourné la page. Plus il y a d’êtres qui ont quitté le foyer, plus les survivants ont d’attaches célestes. Le ciel n’est plus alors uniquement peuplé d’anges, de saints connus ou inconnus et du Dieu mystérieux. Il devient familier, c’est la maison de famille, la maison en son étage supérieur, si je puis dire et du haut en bas, le souvenir, les secours, les appels se répondent. Ainsi soit-il. Bon courage à la famille, nous sommes de tout cœur a vos cotés. Jérôme et Isabelle

J'ai été accueilli plusieurs fois chez mamie, chaleureusement, depuis j'étais étudiant. Toute ma famille en Chine et en France pensent beaucoup à mamie, sincère condoléance à toute la famille, je vous embrasse fort, Mingze

Cette nouvelle m'attriste, chère Françoise, Madame Mandroux était une femme merveilleuse par sa gentillesse, sa simplicité, l'intérêt qu'elle savait porter aux personnes qui l'entouraient. Je me souviendrai toujours des conversations que nous avons eues. Je vous embrasse tous. Jean-Louis

Cette nouvelle me désole, Françoise. Madame Mandroux était une femme tout à fait étonnante par sa gentillesse, sa simplicité, l'intérêt qu'elle portait aux gens. Je garderai toujours le souvenir des conversations que nous avons eues. Je vous présente toutes mes condoléances et toute mon amitié. Jean-Louis

Bonjour, Toutes mes condoléances à toi et à toute la famille. Je garderai toujours un beau souvenir de Mamiange que je voyais un peu comme ma troisième grand-mère. Je ne pourrai malheureusement pas être des vôtres vendredi mais je penserai bien à vous.

Bonjour à tous et plus particulièrement à ma Fanfan. Tout une page, un chapitre de votre vie se termine, mais pas l'histoire. La maison rue de Billeron, lieu d'accueil et de souvenirs pour vous et aussi pour nous tous qui sommes passés par là. Je me souviens. 52 années d'amitiés. Votre papa a toujours été présent même après et maintenant c'est le tour de votre maman. Ils seront toujours des temoins. Affectueuses pensées à vous tous. Je serai là pour vous accompagner. Martine MURAT.